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 Tori Ningyo -

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AuteurMessage
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Tori Ningyo
Age : 28

Messages : 5

Tori Ningyo
Citoyen

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MessageSujet: Tori Ningyo -    Tori Ningyo -  Icon_minitimeMar 4 Oct - 17:59


Tori ningyo
ft. Miyaura Sanshio

Âge : 18 ans
Nationalité : Japonaise
Situation professionnelle : Etudiante
Situation financière : Se debrouille comme elle peut
Situation conjugale : Célibataire
Carnation : Pâle
Taille : 1m62, 2m d'envergure sous sa forme de sirène
Corpulence : Moyenne
Cheveux : Noir corbeau, reflets bleutés, plutôt long.
Yeux : Violet
Signe(s) distinctif(s) : Mise à part sa queue et ses ecailles ? Rien de spécial
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Caractère

Tori est amusante. Sa joie de vivre débordante et son sourire chaleureux font d’elle une personne très sociable. Elle aime voir du monde, se présenter, communiquer. Elle est toujours de bonne humeur et pleine de vie, ce qui peut rapidement devenir agaçant. Toujours prête pour une aventure, l’excitation est naturelle chez elle. Ce qui peut rapidement fatiguer son entourage. C’est pourquoi malgré ses dix-huit ans, Tori reste très puérile. On peut facilement la considérer comme une jeune fille immature, puisqu’elle rit de tout et s’amuse de rien. Vous al verrez souvent s’émerveiller devant un papillon ou entrain de pleurnicher devant la vitrine d’une animalerie. Tori est une véritable enfant, qui vous entrainera avec elle dans ses multiples bêtises. Néanmoins, la jeune fille sait être responsable lorsqu’il le faut. Elle est plutôt studieuse, malgré les quelques fois où elle sèche volontairement, et sait s’adapter à diverses situations. Sa bouille d’ange et son sourire candide l’aident bien souvent à se sortir du pétrin.  Tori est par ailleurs une jeune femme très têtue et dont la fierté semble inépuisable. Elle déteste avoir tort, a beaucoup de mal à s’excuser, et refuse qu’on la rabaisse. La plus part du temps, l’impulsive Tori s’énerve pour peu. Elle aime qu’on aille dans son sens, et qui conque fera l’inverse s’attirera ses foudres. Elle est très colérique, voire même capricieuse, et veut simplement que tout le monde pense comme elle.

Enfin, malgré sa bonne humeur épuisante et ses colères, Tori reste une grande sensible. Emotive et douce, elle se laisse rapidement attendrir. Mais ne le montre pas. Tori n’est pas du genre à dévoiler ses sentiments, ou faire preuve d’une affection exacerbé. Si vous arrivez à lui soutirer un câlin, c’est qu’elle vous portes vraiment très très très très très très haut dans son estime. Oui elle est sociable, mais cela ne veut pas dire qu’elle est tactile ou autre. Tori ne montre pas son affection, ou du moins, elle me montre à sa manière. Les déclarations d’amitiés, d’amour, les compliments… tout ceci la met mal à l’aise, et elle préféra cacher ses joues rosies en vous intimant de la fermer. Sa manière à elle de vous montrer qu’elle vous aime.

Physique

Tori est une jeune fille que l’on pourrait difficilement qualifier de normale. De longs cheveux de jais tombant en cascade dans son dos, accompagné de quelques mèches sauvages encadrant son visage. Une peau si pâle que le moindre coup y laisse une marque indélébile. Des iris violines pailletés d’argent. Oui, Tori n’a définitivement pas un physique passe-partout, néanmoins elle reste dans la norme. Ni grande ni petite, elle mesure dans les un mètre soixante. Elle est pourvue de formes harmonieuses, et c’est bien là l’unique détail qui trahit son âge. Car outre son corps, la jeune femme possède un visage d’ange si enfantin, qu’on peinerait à lui donner ses 18 années d’existence.


Histoire


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Tori fut découvert par son père adoptif au bord d’une crique déserte. L’homme avait l’habitude de se promener sur les rivages au petit matin, lorsqu’ils étaient encore calmes. Il découvrit un nourrisson emballé dans des draps où s’entremêlaient algues et crustacés. Seul un petit papier humide trônait entre les mains du bambin. « Bonne chance Tori » y semblait inscrit maladroitement.  Après l’avoir pris dans ses bras, le jeune homme l’emporta avec lui à l’hôpital le plus proche. Après plusieurs démarches administratives, la police locale lui apprit qu’aucune disparation d’enfant n’avait été signalée récemment et que la petite avait certainement du être abandonné volontairement. Elle allait être confiée à l’orphelinat de la ville lorsque l’homme en question demanda s’il était possible qu’il la prenne sous sa garde. Après quelques papiers remplis, la décision fut prise. L’orphelinat n’avait point besoin d’un enfant supplémentaire à sa charge, et l’homme semblait plein de bonne volonté. C’est ainsi que Tori porta le nom de son père, Ningyo.

La petite grandit paisiblement dans la campagne japonaise. Son père était un fermier dont la femme était décédée un an auparavant, dans un accident de voiture. Elle avait emporté avec elle leur jeune fils, laissant monsieur Ningyo seul avec ses animaux. L’arrivée de Tori dans sa vie fut une chance pour le jeune homme de se reprendre en main. Motivé, il avait désormais un but. Subvenir aux besoins de sa petite fille. Tori grandit donc parmi les plants de légumes, les arbres fruitiers, les cochons et les poules. La demeure familiale n’était pas très grande, mais le terrain semblait déjà plus impressionnant. Seul, monsieur Ningyo avait bien du mal à joindre les deux bouts en fin de mois. Mais le sourire de sa fille le reboostait à chaque fois.  La brunette adorait l’école. Il lui fallait y aller en velo, car la maison étant excentré du village, l’école n’était pas tout prêt. Néanmoins, la jeune fille s’épanouissait. Elle se fit rapidement des amis, et ses bulletins furent remarquables. Son père était très fier d’elle. Lorsqu’elle rentrait, elle passait la plus part du temps à aider ce dernier pour ses récoltes. Elle donnait à manger aux cochons, ou bien cueillait quelques fruits. Lorsqu’il n’avait plus besoin de son aide, elle allait jouer près de l’étang non loin de la ferme et s’amusait à faire quelques ricochets. Jusque-là, la vie de Tori était des plus simples. Et ça lui allait.

Puis vint l’adolescence. Avec son entrée au college, la petite Tori eut plus de mal à s’adapter. Son petit caractère bien trempé ne plaisait pas forcement, mais là n’était pas le souci. Depuis quelques temps, la jeune fille avait beaucoup de mal à se déplacer. Elle tombait bien souvent, chutait en vélo ou en marchant, dégringolait des escaliers. Son père s’inquiétait, il regrettait une chute mortelle sur la route, lui qui avait perdu sa femme et son fils dans des conditions semblables. Mais Tori le rassurait. Elle était maladroite, mais tout allait bien. Ce n’était pas une tare non plus, n’est-ce pas ? Alors bien souvent, la petite passait les portes de l’école plâtrée, ou soutenue par deux béquilles. Les frais médicaux commencèrent à se faire bien trop réguliers, et le pauvre fermier eut beaucoup de mal à subvenir aux besoins de sa fille. Cette dernière s’en voulait énormément. Elle était au courant de comment son père l’avait trouvé, au courant qu’elle n’était pas sa fille biologique. Et à cause d’elle, il devait chaque mois balancer bien trop d’argent en frais d’hospitalisation. Elle culpabilisait. C’est alors qu’un soir, quelque chose se produisit. Tori fixait son reflet dans l’étang, glissant une mèche derrière son oreille, et reniflant. Elle sécha ses larmes du revers de la main, mouvement qui lui fit perdre l’équilibre. Instable émotionnellement comme physiquement, elle tomba dans le bassin. L’eau fraiche la recouvrit et alors qu’elle se débattait pour remonter à la surface, les algues s’agrippèrent à son pantalon. Elle fixa le ciel sous cette épaisse couche d’eau, et tendit les bras aussi fort que possible. Après que son souffle se soit complètement épuisé, elle ferma les yeux, résigné. Elle ne savait pas nager, elle était embourbé, et n’avait plus d’air. Ce ne serait pas une grosse perte, cela allégerait les factures de son père, pensa-t-elle finalement. C’est alors que dans un dernier effort, elle inspira… s’attendant à voir ses poumons se remplir d’eau définitivement. Mais non. Lorsqu’elle ouvrit les yeux, elle se rendit compte que ses jambes avaient disparues, laissant place à une série d’écailles métallisés. Elle ouvrit la bouche, choquée, et quelques bulles s’en échappèrent. Elle pouvait tout simplement respirer sous l’eau. Portant ses mains à son visage, elle découvrit que ses oreilles avaient elles aussi changé, formant des sortes de branchies améliorés. D’un mouvement rapide, elle se dégagea de l’emprise des algues, et remonta à la surface. S’extirpant lourdement, rampant sur le rivage, elle sorti de l’eau. Encore sous le choc, elle resta allongée sur l’herbe, inspirant lourdement. Que venait-il de se passer ? Après plusieurs minutes, son corps reprit sa forme originale, et elle se redressa. Elle chercha à courir jusqu’à la ferme, mais chuta à plusieurs reprises. Lorsque son père la vit arrivé, le corps égratigné par ses nombreuses chutes, mais surtout, nue comme un vers alors que la nuit tombait, il paniqua. Tori lui expliqua ce qu’il venait de lui arriver, et sa vie changea du tout au tout.

Les années qui suivirent furent moins traumatisantes. Tori s’adapta à sa nature avec une aisance déconcertante. Sous l’eau, elle se sentait libre de tout mouvement. Bien entendu, cela compliquait quelque peu sa vie. A l’école, elle évitait les cours de natation, et restait à la maison les jours de pluie. Mais la joie de cette nouvelle forme balayait tous les désavantages qu’elle apportait. Son père quant à lui le prenait différemment. Il s’inquiétait beaucoup plus pour elle, il avait peur que quelqu’un le découvre et face d’elle un phénomène de foire. C’est tout naturellement que Tori voulu s’émanciper. Une fois majeure, elle s’empressa d’évoquer son idée à son paternel. Partir, pour alléger ses finances mais aussi pour assouvir sa curiosité. Tori voulait voir le monde, elle voulait faire des rencontres, explorer tous les océans. Son arrivée à Elfs School fut donc naturelle.

Pouvoir et capacités


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Tori n’est autre qu’une sirène. Sous cette forme-ci, la jeune fille troque ses jambes pour une longue queue bleu métallisé. Quelques écailles recouvrent aussi sa poitrine, ainsi que ses coudes. Ses oreilles prennent une forme plus adéquate, s’approchant presque des branchies, et une fine nageoire dorsale se prolonge le long de sa colonne vertébrale.

Mais concrètement, à quoi tout ceci lui sert-il ? En tant que sirène, Tori a acquérait diverses capacités :
-Elle est capable de respirer sous l’eau. Logique.
-Elle nage beaucoup plus vite que n’importe quel humain du fait de sa morphologie. Bah oui, des nageoires, ça aide.
-Elle est peut communiquer avec la faune aquatique. Pas forcément avec des mots, mais elle comprend la plus part de ses camarades écailleux.
-Sa voix charme naturellement quiconque l’entend. En effet, les sirènes sont connues pour leurs chants envoutants. Si elle le souhaite, Tori peut charmer une personne de sa douce voix. Le charme reste cependant très léger, et bref. Cela lui demande beaucoup d’effort.

Mais cela apporte aussi quelques desavantages :
-Tori craint donc l’eau. Sous forme humaine, il suffit que sa peau entre en contact avec de l’eau pour qu’elle se transforme immédiatement. L’effet prendra fin si elle se sèche et qu’elle n’est plus en contact avec le liquide pendant plusieurs minutes.
-Elle n’est pas du tout agile. Sous forme humaine, Tori ne fait que tomber. Maladroite sur ses deux jambes, elle a beaucoup de mal à se déplacer. Ne lui demander pas de courir, elle risquerait de s’étaler de tout son long.
-Elle ne mange aucun poisson ou autre animal marin. Par contre, c’est une grande fan de viande.

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